Composés humiques, Miracle Grow pour la santé du cerveau

Le type de prévention des maladies le plus efficace est connu sous le nom de prévention primaire.

La prévention primaire est la prévention d'une maladie avant son apparition en adoptant un mode de vie sain propice à une bonne santé générale.

Bien que la définition puisse être simple, les choses deviennent plus complexes lorsque la prévention secondaire et la prévention tertiaire sont ajoutées à l'équation.

Lorsqu'il s'agit d'organes très complexes tels que le cerveau, il est toujours plus sûr de s'en tenir à une prévention primaire très précoce.

Comme l'organe est extrêmement complexe et hautement fonctionnel dans le corps, les problèmes ne sont malheureusement pas faciles à diagnostiquer et à traiter.

De plus, même lorsque les problèmes sont diagnostiqués et peuvent être traités, en raison de la nature exécutive d'un organe comme le cerveau, le temps perdu pour une fonctionnalité sous-optimale peut avoir un impact négatif significatif sur d'autres organes (1,2).

La prévention primaire peut prendre plusieurs formes

La santé du cerveau peut être soutenue par une alimentation saine équilibrée avec des acides gras sains, des protéines, des sucres faibles, des vitamines, des oligo-éléments et de nombreux agents prébiotiques (1).

Bien que cela puisse surprendre beaucoup de gens, la santé intestinale est directement liée à la santé du cerveau. Les connexions sont nombreuses, mais certaines des connexions les plus importantes entre le cerveau et l'intestin incluent :

• Les probiotiques intestinaux réduisent la charge inflammatoire

• L'absorption des nutriments envoie des niveaux de nutriments sains au cerveau

• L'intestin qui fuit influence directement la santé nerveuse et la santé du cerveau

• Les neurotransmetteurs jouent un rôle énorme dans la santé intestinale et certains probiotiques modulent activement les neurotransmetteurs

La relation entre nos probiotiques et la santé du cerveau ne s'arrête pas du tout là (4).

Le cerveau, qui représente 2 % du poids du corps, utilise jusqu'à environ 20 % de l'énergie du corps.

L'organe à haute puissance utilise l'énergie créée par les mitochondries.

Les mitochondries sont de petits organites en forme de batterie dans les cellules qui constituent la monnaie énergétique utilisée par chaque cellule du corps.

La science montre qu'ils contiennent leur propre matériel génétique circulaire et peuvent choisir de se diviser indépendamment du noyau de la cellule.

Les preuves montrent que les mitochondries ressemblent beaucoup à des bactéries et pourraient avoir été une cellule procaryote qui a signé un contrat de symbiose avec nos propres cellules.

La santé des mitochondries qui travaillent dur et produisent de l'énergie est fortement associée à la santé du cerveau et aux maladies neurodégénératives.

Les mitochondries sont les orchestrateurs du processus de phosphorylation oxydative.

En tant que créateurs d'énergie oxydative, ils sont significativement affectés par les profils nutritionnels, la charge toxique et le stress oxydatif (5, 6).

Il a été démontré que les antioxydants améliorent à la fois le transfert d'énergie dans la chaîne de transport d'électrons, ainsi que l'efficacité de la création d'énergie et de la détoxification (6).

La beauté de la symbiose

L'humus est un composant naturel du sol.

Les jardiniers savent que l'ajout de mousse de tourbe au sol est un moyen d'améliorer la teneur en nutriments, mais pourquoi ?

Beaucoup supposent que la décomposition de la mousse fournit aux racines de la "nourriture végétale"

Bien que cela soit vrai à bien des égards, la synergie est celle d'une nature ardente entre les micro-organismes du sol et le système racinaire des plantes.

Lorsque les plantes prennent conscience qu'elles approchent de la fin de leur vie, elles concentrent tous les nutriments dans leurs racines.

Ils repoussent les nutriments dans le sol environnant, mais pour que les nutriments soient correctement absorbés par les systèmes racinaires environnants, de petites navettes doivent faciliter le processus.

Lors de la décomposition et de la décomposition progressive du matériel végétal, les micro-organismes du sol prennent le composant glucidique des nutriments du sol et l'utilisent ensuite pour produire de l'énergie.

En échange, ils produisent les composés humiques tels que l'acide fulvique.

L'acide fulvique est le plus petit de la famille et agit principalement comme une navette qui peut apporter des nutriments dans les cellules et pousser les déchets hors des cellules (7).

L'équilibre des composés humiques dans le sol est celui de millions d'années d'interdépendance passionnée entre les plantes et les occupants du sol environnant.

Malheureusement, l'agriculture moderne perturbe considérablement cet équilibre, car les cycles de vie réguliers des plantes ne sont pas autorisés à se dérouler de manière naturelle.

Les résultats sont un sol déficient en micro-organismes sains, conduisant à des plantes déficientes en nutriments (7,8).

Tremper nos racines dans la terre

Les cultures traditionnelles ont honoré la capacité de guérison des composés du sol.

Le shilajit, par exemple, est un composant de la décomposition des plantes que l'on trouve généralement dans l'Himalaya.

Bien qu'appelée goudron ou résine, la substance sombre vitreuse est en fait l'accumulation de composés humiques et, contrairement au goudron ou à la résine, est un composé soluble dans l'eau (9).

Le shilajit est utilisé par la médecine ayurvédique traditionnelle depuis plus de 5000 ans comme tonique général utilisé pour les problèmes digestifs, le mal de l'altitude, pour améliorer la fatigue, pour améliorer les performances sexuelles et pour faciliter une meilleure guérison (9).

Une limitation à Shilajit est que bien que d'origine naturelle, malheureusement, de nombreux échantillons ont été trouvés contaminés par des métaux lourds.

Dans de tels cas, l'inclure dans les formulations de détoxification fait presque exactement le contraire de ce qui est nécessaire, car les contaminants pénètrent plus profondément dans la cellule (10).

Comment fonctionnent les composés humiques dans le corps humain ?

Les composés humiques semblent fonctionner de la même manière dans le corps humain que dans les écosystèmes naturels.

Dans des conditions alcalines spécifiques (pas une condition pour que l'acide fulvique fonctionne), ils fonctionnent comme des systèmes de micro-navette qui peuvent apporter des nutriments vitaux et des oligo-éléments et faciliter la sortie des substances toxiques de la cellule.

Dans de bonnes conditions, ils facilitent le métabolisme énergétique et la dégradation des métabolites comme les glucides, ce qui se traduit par un métabolisme énergétique plus efficace.

De plus, ils jouent un rôle dans la facilitation de la fonction mitochondriale de création d'énergie.

Des études montrent qu'ils sont fonctionnels en tant qu'agents de détoxification des métaux lourds (11).

Les autres avantages des composés humiques/fulviques sont les suivants :

Santé intestinale

• Attire les nutriments

• Aide à la croissance de probiotiques sains

• Maintient le microbiote sain

• Nourrir des bactéries saines

• Assimilation des nutriments

• Entretien des muqueuses

• protection

• Moins d'inflammation

• Des neurotransmetteurs plus efficaces

• L'alcalinisation empêche la croissance des mauvaises bactéries

• Moins de concurrence

Santé cérébrale

• Radicaux libres

• Fibres de tau

• Prévenir la maladie d'Alzheimer

La douleur

• Équilibre électrolytique

• Anti-inflammatoire

Les composés humiques/fulviques et le cerveau

Bien qu'ils soient bénéfiques pour toutes les parties du corps, les composés humiques et fulviques jouent un rôle important dans la promotion d'un fonctionnement cérébral sain.

En tant que facilitateurs du métabolisme des glucides, le cerveau dépensier est mieux alimenté avec un métabolisme des sucres plus efficace.

De plus, la fonctionnalité des composés humiques en tant qu'anti-inflammatoires immunomodulateurs est tout à fait unique.

Comme la plupart des agents de désintoxication peuvent facilement déclencher une inflammation due à la mobilisation de métabolites toxiques, les composés humiques offrent l'avantage d'établir un environnement anti-inflammatoire pendant la désintoxication.

De plus, la facilitation de l'absorption des nutriments ajoute une autre couche d'avantages car elle accélère le processus de guérison.

Que rechercher dans un supplément de composés humiques

• Agent alcalinisant - pour faciliter la solubilité dans l'eau

• Acide fulvique - Plus petit composé humique

• Source propre et de haute qualité - Absolument aucune contamination !

• Les oligo-éléments d'appoint sont aussi une excellente idée !

LES RÉFÉRENCES

1. Hussenoeder FS, Riedel-Heller SG. Prévention primaire de la démence : des facteurs de risque modifiables à un programme public de santé cérébrale ?. Psychiatrie sociale et épidémiologie psychiatrique. 2018 décembre ;53(12):1289-301.

2. Marmotte MG, Poulter NR. Prévention primaire des AVC. Le Lancet. 1992;339(8789):344-7.

3. Safouris A, Tsivgoulis G, N Sergentanis T, Psaltopoulou T. Régime méditerranéen et risque de démence. Recherche actuelle sur la maladie d'Alzheimer. 1 octobre 2015;12(8):736-44.

4. Smith CJ, Emge JR, Berzins K, Lung L, Khamishon R, Shah P, Rodrigues DM, Sousa AJ, Reardon C, Sherman PM, Barrett KE. Les probiotiques normalisent l'axe intestin-cerveau-microbiote chez les souris immunodéficientes. American Journal of Physiology-Gastrointestinal and Liver Physiology. 15 octobre 2014;307(8):G793-802.

5. Purdon AD, Rosenberger TA, Shetty HU, Rapoport SI. Consommation d'énergie par le métabolisme des phospholipides dans le cerveau des mammifères. Recherche neurochimique. 2002 déc.;27(12):1641-7.

6. Marí M, Morales A, Colell A, García-Ruiz C, Fernández-Checa JC. Le glutathion mitochondrial, un antioxydant clé de la survie. Antioxydants et signalisation redox. 1 novembre 2009;11(11):2685-700.

7. Senesi N, Miano TM, Brunetti G. Substances de type humique dans les amendements organiques et effets sur les substances humiques du sol indigènes. Substances humiques dans les écosystèmes terrestres. 1996 janvier 1:531-93.

8. Brunetti G, Senesi N, Plaza C. Effets de l'amendement avec les eaux usées traitées et non traitées des moulins à huile d'olive sur les propriétés du sol, les substances humiques du sol et le rendement du blé. Géodermie. 15 février 2007;138(1-2):144-52.

9. Agarwal SP, Khanna R, Karmarkar R, Anwer MK, Khar RK. Shilajit : une critique. Recherche en phytothérapie : une revue internationale consacrée à l'évaluation pharmacologique et toxicologique des dérivés de produits naturels. 2007 mai;21(5):401-5.

10. Rahim M, Mohammadzai I, Hassan W, Ahmad N. Profil de métaux lourds d'échantillons de shilajit obtenus à Gilgit et Chellas, Pakistan. Journal des sciences physiques . 1 juillet 2016;27(2):139.

11. Winkler J, Ghosh S. Potentiel thérapeutique de l'acide fulvique dans les maladies inflammatoires chroniques et le diabète. Journal de recherche sur le diabète. 10 septembre 2018; 2018.